Le 1er janvier 2022 arrive à grands pas et vous êtes en panne d’idées question bonnes résolutions ? Ne cherchez plus. Le jeudi 26 janvier de 18h à 23h00, la Ville de Marseille, l’État et les associations de lutte contre la précarité et d’aide aux plus démunis organisent la seconde édition de la Nuit de la Solidarité à Marseille. Comment y participer ? Marseille Secrète vous dit tout ce qu’il faut savoir sur cette bonne action solidaire.
Pour une ville de Marseille plus juste et solidaire
Juste une soirée. C’est le temps que la Ville de Marseille vous demande de consacrer aux personnes sans-abris. Avec La Nuit de la Solidarité, le curseur est placé sur le mieux-vivre ensemble, le partage et l’écoute. Mais c’est aussi et avant tout une “opération solidaire (qui) vise à aller à la rencontre des personnes en situation de grande exclusion dans l’ensemble des rues et des quartiers de la ville, afin d’échanger avec elles à partir d’un questionnaire anonyme, qui permettra d’avoir une connaissance actualisée de leurs situations et de leurs besoins (distribution de repas, meilleure connaissance des lieux de vie…)”. Grâce aux réponses récoltées, la Ville de Marseille pourra ainsi mieux évaluer et “faire progresser les dispositifs et politiques publiques d’accueil, d’hébergement et d’insertion”.
Votre temps : une aide précieuse pour la Nuit de la Solidarité
Cette action de grande ampleur ne peut pas se faire seule. Pour cette seconde Nuit de la Solidarité, la Ville de Marseille compte sur une mobilisation massive de bénévoles. En effet, il faudrait la participation de plus de 1500 personnes afin de venir en aide aux équipes de maraudes qui couvrent les 16 arrondissements que compte Marseille. Si vous êtes prêts à offrir quelques heures de votre temps pour venir en aide aux personnes sans-abris, il ne vous reste plus qu’à vous inscrire.
Une fois votre inscription faite c’est très simple : “ À partir d’un point de rendez-vous le plus proche de chez vous, au sein d’une équipe de 3 à 4 personnes, et après une formation, vous pourrez aller au contact de personnes en grande précarité et échanger avec elles à partir d’un questionnaire anonyme qui permettra ensuite aux institutions de mieux adapter les actions à mener”. Un peu de notre temps peut parfois changer beaucoup de choses…